Une monnaie intérieure est apparue nécessaire à un moment de la vie du collectif pour aider à gérer les relations sociales et affectives qui présidaient aux échanges. L'unité est la « pépite ». Comme pour les ceintures, chacun s'appropriera – ou pas – cette institution qui peut étonner. La découvrir est un travail en soi.
Cette monnaie permet également de reconnaître le travail effectué par chacun(e) en le rémunérant.
Un marché est organisé au cours de chaque "Rencontre de Saint-Vérand".